Focus sur la Zone à Très Faibles Emissions de Londres dans le cadre des Rencontres Air & Santé de Toulouse

by in Actualité 29 avril 2024

3ème édition des Rencontres Internationales Air et Santé 2024 du 6 et 7 février 2024

Depuis les élections municipales en 2016, les grandes villes ont pris un rôle crucial dans la réduction de la pollution atmosphérique, mettant, par ailleurs, fin aux smogs qui obscurcissaient le ciel. Sous l’impulsion de décisions politiques, telles que celles mises en place à Londres, des mesures urgentes ont été prises, appuyées par les analyses du King’s College de Londres. Ces actions ont entraîné une véritable réduction des émissions de Nox et de particules depuis 2016.

Avec un plan ambitieux visant à intégrer toutes les politiques environnementales, telles que les logements et les transports, ces villes visent à reZspecter des normes acceptables pour 2025 et celles de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2030.

Pour maximiser les partenariats, il est crucial de mobiliser les acteurs nationaux et locaux, tout en donnant du pouvoir aux communautés. Malgré les défis logistiques et les oppositions rencontrées lors de la mise en place de l’ULEZ, l’engagement fort de la communauté et des partenaires non politiques a été crucial.

Des incitations à la transition vers des modes de transport plus propres, tels que les transports publics et les vélos, ont été mises en place, tandis que l’élimination des véhicules les plus polluants et l’expansion des zones à faibles émissions ont montré des résultats tangibles, réduisant les coûts liés aux embouteillages et aux sanctions routières.

En parallèle des initiatives telles que l’installation de capteurs pour informer les citoyens et le déploiement de bus à énergie propre et de taxis à zéro émission contribuent à créer des environnements urbains plus sains et durables, sans oublier la mise en place de milliers de points de recharge électrique pour faciliter l’adoption des véhicules électriques.