
Publication du rapport 2020 de surveillance des pollens et moisissures
Le rapport Surveillance des pollens et moisissures dans l’air ambient pour l’année 2020 a été rendu...
Un article rédigé par Sarah Mahdjoub, Martine Hours et Mouloud Haddak (IFSTTAR).
Un texte rédigé par I. Roussel, avec la collaboration de P. Carrega.
Carbon Tracker propose une analyse de l'économie des énergies fossiles et de ses vulnérabilités.
Une synthèse proposée par la cellule de veille de l'APPA.
Une analyse proposée par la cellule de veille de l'APPA.
Une analyse proposée par la cellule de veille de l'APPA.
Une synthèse proposée par Isabelle Roussel, Présidente d'honneur de l'APPA.
Proposé par Isabelle Roussel, présidente d'honneur de l'APPA.
Proposé par Isabelle Roussel, présidente d'honneur de l'APPA.
Proposé par Isabelle Roussel, Lionel Charles et Margot Delattre, membres de l'APPA.
Vous êtes une collectivité territoriale ayant des problèmes de qualité de l’air extérieur liés aux polluants réglementés avec dépassement ou risque de dépassement des valeurs « cibles » ou des valeurs « limites » nationales ou des problèmes de qualité de l’air intérieur.
Vous êtes éventuellement associé à un bureau d’études ou une association (en tant que prestataire ou sous-traitant).
Votre projet concerne une étude.
Son objectif est d’aboutir à des actions concrètes d’amélioration de la qualité de l’air à déployer par votre collectivité. Vous vous intéressez pour la pollution de l’air extérieur à la réduction des émissions de particules fines, des oxydes d’azote, de l’ozone et de leur précurseurs (ammoniac, COV, …), pour la pollution de l’air intérieur au benzène, formaldéhyde, CO2 en tant qu’indicateur du confinement, monoxyde de carbone, radon, particules, moisissures et oxydes d’azote. Vous envisagez des actions en matière de transports et mobilité, urbanisme, gestion des déchets verts, chauffage au bois, changements de pratiques individuelles et collectives…Vous portez une attention toute particulière à l’équité sociale des mesures à mettre en place, au rapport coût/avantage de ces mesures, à leur lien avec la lutte contre le changement climatique et la précarité (notamment énergétique) et aux synergies possibles avec d’autres enjeux (exemple : la qualité des ambiances sonores).Vous vous assurez que les projets intègrent les utilisateurs ou bénéficiaires finaux de l’action, le plus en amont possible.
Dans le cadre du projet AACT-AIR, vous pouvez bénéficier :
– d’une aide financière : un financement vous est octroyé sous la forme d’une subvention de l’ordre de 70 % des dépenses éligibles (selon le le système d’aide à la connaissance / Etudes générales de l’ADEME) ;
– d’un accompagnement technique : des agents ADEME spécialistes de la qualité de l’air et des problématiques rencontrées par les collectivités vous accompagnent dans la réalisation et la valorisation de votre étude.
AACT-AIR est un appel projet lancé avec une fréquence annuelle. Depuis l’édition 2020, les projets R&D ne sont plus éligibles et devront être orientés vers la prochaine édition de l’appel à projet AQACIA.
AACT-AIR donne lieu à une sélection des dossiers déposés.
Votre projet sera évalué selon les critères suivants :
Le cahier des charges donne des exemples d’objets d’études. Pour avoir des exemples de projets soutenus, vous pouvez également consulter la liste des lauréats AACT-AIR 2013-2020.
Délai de dépôt des dossiers : du 26/02/2021 – 15:33 au 25/05/2021 – 12:00 – Heure de Paris
Région(s) ou pays concerné(s)
National
Pour en savoir plus :
Vous êtes une collectivité territoriale ayant des problèmes de qualité de l’air extérieur liés aux polluants réglementés avec dépassement ou risque de dépassement des valeurs « cibles » ou des valeurs « limites » nationales ou des problèmes de qualité de l’air intérieur.
Vous êtes éventuellement associé à un bureau d’études ou une association (en tant que prestataire ou sous-traitant).
Votre projet concerne une étude.
Son objectif est d’aboutir à des actions concrètes d’amélioration de la qualité de l’air à déployer par votre collectivité. Vous vous intéressez pour la pollution de l’air extérieur à la réduction des émissions de particules fines, des oxydes d’azote, de l’ozone et de leur précurseurs (ammoniac, COV, …), pour la pollution de l’air intérieur au benzène, formaldéhyde, CO2 en tant qu’indicateur du confinement, monoxyde de carbone, radon, particules, moisissures et oxydes d’azote. Vous envisagez des actions en matière de transports et mobilité, urbanisme, gestion des déchets verts, chauffage au bois, changements de pratiques individuelles et collectives…Vous portez une attention toute particulière à l’équité sociale des mesures à mettre en place, au rapport coût/avantage de ces mesures, à leur lien avec la lutte contre le changement climatique et la précarité (notamment énergétique) et aux synergies possibles avec d’autres enjeux (exemple : la qualité des ambiances sonores).Vous vous assurez que les projets intègrent les utilisateurs ou bénéficiaires finaux de l’action, le plus en amont possible.
Dans le cadre du projet AACT-AIR, vous pouvez bénéficier :
– d’une aide financière : un financement vous est octroyé sous la forme d’une subvention de l’ordre de 70 % des dépenses éligibles (selon le le système d’aide à la connaissance / Etudes générales de l’ADEME) ;
– d’un accompagnement technique : des agents ADEME spécialistes de la qualité de l’air et des problématiques rencontrées par les collectivités vous accompagnent dans la réalisation et la valorisation de votre étude.
AACT-AIR est un appel projet lancé avec une fréquence annuelle. Depuis l’édition 2020, les projets R&D ne sont plus éligibles et devront être orientés vers la prochaine édition de l’appel à projet AQACIA.
AACT-AIR donne lieu à une sélection des dossiers déposés.
Votre projet sera évalué selon les critères suivants :
Le cahier des charges donne des exemples d’objets d’études. Pour avoir des exemples de projets soutenus, vous pouvez également consulter la liste des lauréats AACT-AIR 2013-2020.
Région(s) ou pays concerné(s)
National
Pour en savoir plus : https://agirpourlatransition.ademe.fr/entreprises/dispositif-aide/20210226/aact-air2021-54
Le plan d’action chauffage au bois vise à réduire de 50% entre 2020 et 2030 la pollution atmosphérique en favorisant l’utilisation d’équipements performants et de combustible de qualité
Cette consultation publique est réalisée en application de l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement pour la mise en œuvre du principe de participation du public aux décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement prévu à l’article 7 de la Charte de l’environnement.
Le chauffage au bois est une source d’énergie renouvelable, locale et économique. L’usage du bois (ou des granulés) pour le chauffage domestique est une source d’énergie neutre en carbone.
Mais le chauffage au bois domestique constitue également une partie importante de la pollution en particules fines : en 2018, il était responsable de 27% des émissions nationales en PM10 et de 43% des émissions nationales en PM2.5, ainsi que plus de la moitié (55%) des très fines émissions en PM1.0.
Plus les particules sont fines, plus elles pénètrent profondément dans l’organisme. Le Centre International de la Recherche sur le Cancer (CIRC) a déclaré en 2013 les particules fines comme étant, sans distinction de source, cancérogènes pour l’homme. Les recherches montrent qu’une exposition de court terme aux particules fines suffit pour accroître la morbidité cardio-respiratoire, tandis qu’une exposition chronique favorise l’apparition de pathologies respiratoires (asthme, broncho-pneumopathies…), de maladies cardiovasculaires et de cancers du poumon.
En 2016, Santé Publique France estimait que la pollution par les particules fines était à l’origine d’au moins 48 000 décès prématurés par an, soit 9% de la mortalité en France. Si les valeurs limites des recommandations de l’OMS étaient respectées, plus de 17 000 décès prématurés par an pourraient être évités.
Les principaux facteurs d’influence sur la qualité de la combustion, et donc sur les émissions de polluants atmosphériques du chauffage au bois domestique, sont :
– l’appareil et son installation (ancienneté, dimensionnement, entretien)
– la qualité du combustible (humidité, absence d’écorce, essence)
– les pratiques (méthode d’allumage, allure de fonctionnement, gestion des entrées d’air)
Le plan d’action chauffage au bois vise à réduire de 50% entre 2020 et 2030 la pollution atmosphérique en favorisant l’utilisation d’équipements performants et de combustible de qualité.
Il comprend 11 mesures réparties sur 6 axes :
1) Sensibiliser le grand public à l’impact sur la qualité de l’air du chauffage au bois avec des appareils peu performants
2) Renforcer et simplifier les dispositifs d’accompagnement pour accélérer le renouvellement des appareils de chauffage au bois.
3) Améliorer la performance des nouveaux équipements de chauffage au bois
4) Promouvoir l’utilisation d’un combustible de qualité
5) Encadrer le chauffage au bois dans chaque zone PPA, en prenant des mesures adaptées aux territoires pour réduire les émissions de particules fines
6) Améliorer les connaissances sur l’impact sanitaire des particules issues de la combustion du bois
Pour plus d’informations : http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-de-plan-d-action-pour-un-chauffage-au-bois-a2338.html
La dégradation des matériaux plastiques et des nombreux emplois de nanomatériaux dans les produits du quotidien entraîne le rejet d’importantes quantités de particules de dimension micro ou nanométriques dans l’environnement. Si le recours au plastique ou aux nanomatériaux manufacturés a des avantages certains, les contaminations particulaires qui en sont issues peuvent avoir des effets néfastes sur la santé et les écosystèmes.
Le 20 mai prochain, l’Anses et l’ANR organisent une rencontre scientifique sur le thème « Microplastiques et nanomatériaux : recherche en environnement et santé ». Au travers d’un panorama des travaux de recherche financés par les deux agences, seront abordées les sources d’exposition aux particules, leur présence dans l’environnement ainsi que leurs conséquences sur les écosystèmes et la santé humaine.
Une intervention spécifique portera sur la conception de nanomatériaux innovants, durables et plus sûrs pour la santé humaine et l’environnement. En fin de journée, un panel d’experts sera convié à un échange portant sur « Micro/nano : entre futilité et utilité ».
Ce colloque s’adresse à la communauté scientifique, aux associations environnementales, aux organisations professionnelles et aux décideurs publics.
Pour plus d’informations : https://evenement.anr.fr/colloque-nanoparticules
L’humidité est une thématique méconnue mais pourtant prépondérante dans les bâtiments.
Le webinaire permettra de traiter les points suivants :
Au programme :
Intervenants :
Yves Vanhellemont > CSTC
Samuel Daucé > AQC
Mariangel Sanchez > AQC
Karla Dinne > CSTC
Emilie Hecquet > APPA
Marianne Stranger > VITO
Pour plus d’informations : https://app.livestorm.co/cd2e/atelierco-etair-lhumidite-dans-les-erp-phenomenes-principaux-et-consequences-sur-la-sante?type=detailed
Cette année, les Rencontres de Santé publique France se tiendront en format virtuel les 25 et 26 mai.
Au programme :
12 sessions et 2 plénières Covid.
Retenez dès à présent les dates !
https://www.rencontressantepubliquefrance.fr/
La 16e édition du CFA se tiendra du 26 au 28 mai 2021 au Palais des Congrès de la Porte Maillot à Paris : merci d’en réserver d’ores et déjà les dates sur vos agendas.
Nous espérons ainsi vous retrouver nombreux en avril 2021 pour ce CFA dont le fil rouge reste « Le Tour du Monde des Allergies » !
Pour s’inscrire et consulter le programme : https://register.congres-allergologie.com/
Le PNSE4, intitulé « mon Environnement, ma Santé » porte l’ambition de permettre à chacun de nos concitoyens d’être acteur de son environnement et de sa santé, c’est-à-dire de mieux comprendre et de mieux connaître les risques auxquels il est exposé afin de mieux agir au quotidien, par des actions concrètes et immédiates, pour réduire son exposition. Fondé sur une approche « One Health », il se donne pour objectif la prévention et la promotion de la santé environnementale au plus près des territoires afin de lutter contre les inégalités territoriales de santé. La qualité de l’air est un des multiples facteurs environnementaux qui reste un défi à relever. En effet, la pollution de l’air extérieur serait responsable, selon les estimations, de 48 000 à 67 000 décès prématurés annuels en France, et la pollution de l’air intérieur nécessite de maîtriser de nombreuses sources d’émission et de multiples agents polluants. L’objectif de cette journée est de faire le point sur les expositions, les impacts sanitaires et leurs mécanismes et de donner la parole à de nombreux acteurs, institutionnels et associatifs, sur les modes d’information de la population, les bons gestes à adopter, et sur le développement d’actions concrètes menées dans les territoires.
08h00
Accueil des participants
08h30
Discours d’introduction
Une seule Planète, une seule Santé, notre Avenir
Elisabeth Toutut-Picard, Députée de la 7e circonscription de la Haute-Garonne
09h00
Impact de la pollution atmosphérique sur la santé : approche multidisciplinaire (de la physico-chimie atmosphérique à la biologie) illustrée par le projet PolluRisk
09h30
Impact de la pollution atmosphérique sur les maladies cardio-vasculaires
Dr. Pierre Souvet, Cardiologue – Association Santé Environnement France (ASEF)
10h00
Pollution de l’air et maladies respiratoires
Pr. Isabella Annesi-Maesano, INSERM Directeur équipe EPAR (Epidémiologie des maladies allergiques et respiratoires)
10h30 Pause
11h00
Premiers résultats des campagnes Pesticides
Intervenant en cours de confirmation
11h30
Evolution de l’indice ATMO : mieux informer pour mieux préserver la qualité de l’air
Gaël Lefeuvre, Référent national indice ATMO à Atmo France et Directeur d’Air Breizh
12h00
Table ronde |
Besoins et attentes de différents acteurs sur PNSE4 et qualité de l’air Animée par le Dr. Fabien Squinazi, Médecin biologiste et vice-président de la Commission Risques liés à l’Environnement au Haut Conseil de la Santé Publique |
Intervenants :
Cadrage juridique et réglementaire
Corentin Chevallier, Avocat Associé, Foley Hoag
Le LCSQA et les perspectives de surveillance de la qualité de l’air
Eva Leoz-Garziandia, Directrice exécutive du Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l’Air (LCSQA)
Le rôle de la Fondation du souffle et la prévention des maladies respiratoires
Pr. Bruno Housset, Pneumologue et Président de la Fondation du Souffle
Le Conseil National de l’Air et les perspectives en matière de protection de l’air
Jean-Luc Fugit, Président
13h00 Déjeuner
Retours d’expériences de collectivités
14h00
Stratégie petite enfance en Nouvelle-Aquitaine : de nouvelles recommandations dans les crèches dans le contexte COVID (entretien des locaux, hygiène des mains…)
Claire Morisson, Ingénieur Sanitaire – Agence Régionale de Santé (ARS)
14h30
Information des différents publics sur la qualité de l’air : s’appuyer sur des acteurs relais
Corinne Schadkowski, Directrice – Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique (APPA)
15h00 Pause
15h30
Améliorer la qualité de l’air : les acteurs de la santé environnementale mobilisés en Île-de-France ?
16h00
10 ans de recherche en sociologie d’action sur la qualité de l’air à Grenoble
Stéphane Labranche, Coordonnateur scientifique du GIECO/IPBC
16h30
Les bénéfices d’intégrer sur le long terme la qualité de l’air intérieur comme indicateur de l’efficacité sanitaire d’un bâtiment; REX avec une métropole
Jean-Jacques Pellerin, Directeur associé – Greease
17h00
Conclusions et discussions
17h00
Fin de la journée thématique
Pour plus d’informations : https://www.webs-event.com/fr/event/fimea/accueil
Appel à communications en cours jusqu’au 05/02/2021
Pour plus d’informations : https://www.webs-event.com/fr/event/atmosfair/
En 2021, LES DÉFIS BÂTIMENT SANTÉ fêteront leurs 10 ans d’existence ! A chaque édition, ils abordent des thématiques innovantes centrées sur l’interaction Bâtiment, Ville et Santé. Au cours de cette dernière décennie, la prise en compte de la santé dans le cadre bâti et urbain est devenue enfin incontournable. L’épidémie de COVID-19 a donné à la santé un poids nouveau dans les choix et les actions concernant l’environnement bâti.
En 2011, lors de la création de ce colloque, la santé a été reconnue comme une des performances indispensables des produits de construction et de second oeuvre par la publication du décret sur l’étiquetage obligatoire de leurs émissions de polluants volatils.
En 2020, la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire devait permettre de favoriser le réemploi et la réutilisation de produits issus de la construction.
En 2021, LES DÉFIS BÂTIMENT SANTÉ feront un point indispensable sur les actions, innovations et réalisations qui ont intégré une réflexion sanitaire dans les opérations de recyclage, réemploi et réutilisation dans le secteur des produits et équipements du bâtiment.
Développons ensemble une démarche globale d’économie circulaire, à la fois environnementale et sanitaire, afin d’éviter des expositions des compagnons et des occupants des bâtiments à certaines substances actuellement contrôlées ou interdites.
Parmi les nombreuses thématiques pour lesquelles une évaluation Santé s’avère maintenant indispensable :
Elles seront étudiées et sélectionnées par notre Comité scientifique, présidé par le Dr Suzanne Déoux, Fondatrice de Bâtiment Santé Plus
Pour plus d’informations : https://www.defisbatimentsante.fr/
L’Observatoire National de la Précarité Énergétique organise son colloque bisannuel au Campus d’EuraTechnologies à Lille.
Rendez-vous le 9 novembre 2021 à l’occasion de l’anniversaire de l’ONPE et des dix ans du Grenelle de l’environnement pour dresser un bilan des instruments de lutte contre la précarité énergétique.
En collaboration avec ses 29 partenaires, l’ONPE mobilisera des professionnels et des acteurs de l’habitat, de la santé et de la mobilité pour tirer des perspectives afin d’enrayer ce phénomène.
Pour plus d’informations : https://onpe.org/news_agenda/9_novembre_2021_4eme_edition_du_colloque_onpe